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Et si l'Amour remplaçait ma peine

Et si l'Amour remplaçait ma peine
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19 mars 2007

Et si l'amour emplaçait ma peine...

Henriette est son prénom, pour le livre vous comprendrez bien que je garde l’anonymat par pudeur. Elle vie dans le nord de la France mais la vie ne l’a pas épargnée c’est le moindre que l’ont puissent dire. Certaine personnes disent avoir une bonne étoile au dessus de la tête, elle me dit, moi se son des météorites qui à chaque étape de ma vie me tombent sur la tête. Cela doit faire partie de ma vie mais ça fait mal, moi je la connais pas beaucoup mais nous avons papotée et au fils des jours. Elle m’a confiée ses secrets, ses douleurs morales et familiales, bien sur on a tous des problèmes. Mais entendre expliquer les siens avec tant de tristesse cela fait mal et froid dans le dos, ma vie me dit elle avec tout ce que j’ai endurée, je pourrais en faire un roman ; puis elle a sa pudeur je la comprend, mais je n’en ai pas la force, si seulement quelqu’un le faisait  pour moi cela me ferais  tellement plaisir elle m’en a parlé à plusieurs reprise, puis un jour elle était si triste que je lui est  proposée de lui l’écrire en gardant l’anonymat, les prénoms, les villes, son symboliques, je raconte sa vie comme elle me l’a décrit. Son histoire m’a touchée, elle mérite d’être lue, peut être avons-nous tous un peut de son histoire, bien que j’espère que votre vie est plus belle, la sienne est si triste. Bien sur je ne suis pas écrivain mais je pense faire pour le mieux ce n’est pas facile de se mettre dans la peau de quelqu’un d’autre.

Ceci est la vie d’une dame que je connais ce n’est pas ma biographie vous trouverez deux façons de lire ce livre, d’abord ce que me raconte Henriette, tout ses malheurs puis la façon dons je vois cette personne moi qui la connais à peine cela me donne une autre façon de voir la vie, cette personne s’est battue contre sa propre famille tout membre confondu au moment ou elle aperçoit une lueur d’accalmie, cela ne dure pas autre chose vient se mettre en travers de son chemin terrestre mais aussi sur le chemin sentimentale, se fut couverts d’embuches Henriette n’en vois pas la fin mais au contraire plus le temps passe plus le sort s’acharne sur elle à croire que la chance pour elle n’existe pas elle, reste avec sa tristesse et un grand vide, autour d’elle, pourtant elle ne mérite pas cela, elle à perdue ses parents, mais la personne à qui elle pense le plus souvent c’est à son premier Amour  mort pour la guerre d’Algérie, et malgré le temps passé elle y pense toujours, je la comprend la perte d’un être chère ne s’oublie pas elle à fait preuve d’un grand courage durant tout ce temps sans se confiée à personne surtout pas à sa famille, pourtant elle ne leur en veut même pas, mais certaine personne n’aurons jamais son pardon, mais vous le découvrirez en lissant le livre, ses lignes ce sont ses mots, ses peines, en me racontant cela avec un visage triste et ses yeux étaient imbibés de larmes quelle laissait échappée sur son visage cela me fit beaucoup de peines elle qui aujourd’hui est si aimable avec tout le monde qui l’entoure je me demande comment un petit bout de femme comme        elle a pu supporter cela elle me dit les mots suivant ma vie aurais pu être comme un bouquet de roses comme certaine dise mais ce n’est qu’une branche de lierre qui na rien pour se rattrapée ;

Alors a vous de juger en lisant ces quelques lignes.

Et oui Henriette et bien mon prénom, je suis née dans une petite ville du Nord de la France, j’ai vue le jour  un premier juin, issue d’une famille de 7 enfants je suis la troisième, 3 filles et 4 gars une famille comme l’on trouvait par le passé. Mes parents tenaient une petite affaire de fruits et légumes comme ils disaient la vie était assez dure mais ça ne tournait pas trop mal les grandes surfaces cela n’existaient pas la vie était moins dure que maintenant cela se passait dans les années 40. Les soirs après le travail des parents, et l’école pour les plus grands ont se retrouvaient a la maison autour de la table un moment inoubliable il n’y avait pas la télé qui malgré l’utilité qu’elle rend pour ceux qui son seul, elle à rendue la vie familiale infernale, il n’y a plus de dialogue dans les foyers nous je me rappelle les parents parlaient travail et nous on se racontait notre journée c’était rigolo. oh je n’était pas la plus chouchoutée croyez moi, le père était plus proche des ainés, et ma mère portait plus d’attention au plus jeune, je ne suis pas à mes yeux l’enfants de l’amour c’est se que j’ai toujours pensée et je le pense encore aujourd’hui c’est une grande souffrance, pourtant tout enfant à droit d’être heureux, aimé, pourquoi pas moi, un peut d’amour est ce trop demandé je voyais qu’il fessait des câlin ou des gâteries aux autres et moi jamais mais je n’osais rien dire et j’ai du faire sans amour si je m’approchais il me disait recule toi, tu vois  bien il y a ton frère ou ta sœur je me reculais mais j’étais triste, avec les autres on ne peut pas dire que l’ont ne s’entendaient trop mal, mais malgré tous cela je ne leur en voulaient pas, puis la fratrie ils n’y pouvaient rien, mais cela étais dure. La dureté de la vie m’a peut être appris à être plus positive face aux épreuves, croyez moi j’en aurais besoin au fils des années. Je me souvient petite je me cachais pour pleurer car si les parents me voyaient ils me punissaient, mais il y avait des fois que c’étais les autres qui répétaient sans penser faire du mal maman Henriette pleure et ils répondaient tout les deux elle ne sais pas pour quoi pourtant quelque chose me manquais et cette chose c’était l’amour  tous simplement pour moi c’étais le plus important mais que faire, je n’est pas demandée à venir au monde je ne comprend pas ils me repoussaient mais ma vie continue sans amour mais ma souffrance me suivait c’étais dure à supporter, il me fallait faire face et ne rien laisser paraître, mais pour une petite fille, cela est dure à admettre puis un jour de décembre mon père tomba malade à l’époque la médecine ne faisait pas autant de progrès, les médicaments étaient rare et très couteux, les médecins n’ont pas pus le guérir il avait attrapé la tuberculose et la veille de noël il mourut, nous étions tous très jeune sa mort nous attristaient mais nous pensions aussi a noël qui n’aurais pas lieu pour nous cette année, moi j’avais 7 ans notre père sa mort a fait un grand vide a la maison, il était moins présent que les générations d’aujourd’hui mais il était là à nos cotés parmi nous, puis pour notre mère les taches devenaient plus dure, sur son visage apparaissais, sa tristesse sa fatigue j’aurais aimée pouvoir l’aider, la réconforter mais elle ne me laisse aucune chance je pouvais que voire son triste visage et cela me fessait mal pour elle, mais la petite affaire qu’ils possédaient continuait de tourner grâce a notre mère et puis elle n’avait pas le choix il fallait bien faire vivre les enfants. On poursuivait les cours, pour les plus grands, et les plus petits elle les emmenaient avec elle au magasin pour elle le travail est énorme, mais elle n’a jamais fait manqué l’école aux ainés, moi elle me gardait pour lui aidée là encore je voyais la différence je pensais que seul elle me laisserais moins de coté mais c’était pareil, puis un jour je suis tombée malade à mon tour ce n’étais pas grave mais il fallait me faire suivre et je me rappelle, le docteur avait dit ses mots suivants Henriette est plus fragile que les autre, et la mort de son père l’a plus marqué il lui faudrait pas de contrariétés je m’en rappelle comme si c’était hier ; mais sa mort m’a peinée bien sur cela ne fait pas de doute mais en vérité la vie à laquelle je suis confrontée et une souffrance bien plus grave. Bien sur tout le monde a ses ennuyés mais certain plus que d’autre, moi la vie ne ma fait aucun cadeau je ne peux pas comprendre que la vie pour un enfant soi un enfer, triste et compliquée la suite vous le confirme le sort s’acharne  sur moi à l’adolescence on avait tous nos occupations. Les soirs après la fermeture du magasin on s’installait autour de la table a heure régulière notre mère qui nous avaient préparé un repas copieux mais pas raffiné cela elle nous le préparait les dimanches, nous avions une place fixe et pas question de changé, sans son accord, les repas n’étaient pas triste ont riaient, puis après le repas, la table rangée, on chantait cela apportait un peut de distraction a notre mère cela la changeait du magasin, du travail de mère de famille qui je doit reconnaitre n’était pas de tout repos, malgré tout ses enfants étaient sa priorité ; mais moi j’aurais voulue plus de place dans sa vie, mais pour moi il n’y en n’avait  guère et je n’ai jamais compris pourquoi moi qui demande juste un peut de son amour sens différences avec les autres, je croyais que c’étais trop lui demandée je pense que oui. Mais je devais continuer à vivre et à grandir comme les autres je n’avais pas le choix et les années ont passées jeune on ne sortait pas beaucoup moi il fallait restée pour aidée, les plus âgés avaient le droit de s’amusé, moi on me trouvait toujours quelque chose a faire pourtant j’aimais, rire, chantée, sortir, mais il me fallait  travailler, et c’est comme cela que j’ai passée ma jeunesse, aider ma mère au magasin, pour les étiquettes des fruits et légumes, ranger les cagettes, c’était a moi que revenais les corvées la je n’étais pas trop jeune c’étais le seul moment ou je lui entendait prononcée le prénom d’Henriette. Pendant que les ainés s’amusaient pour moi les soirées étaient longue malgré la fatigue de la journée, et savoir les autres se faire rire c’étais encore pire a admettre. Puis les ainés se son marié il y avait moins de monde a la maison pour les taches ménagères cela se connaissait. Et quelques années plus tard avec deux de mes copines nous allions au bal, bien sur je ne devais pas rentrée en dehors des heures données par ma mère le moindre retard était réprimandé, mais après le mariage des ainés notre mère était plus coule sans pour autans me laissée vivre comme je l’aurais voulue, ni me donnée plus d’amour, le réconfort je le trouverais ailleurs, sortir pour moi était un divertissement et cela me fessais beaucoup de bien. Puis j’ai rencontrée Paul, il était de mon âge et habitait la commune voisine, on ne se connaissait pas vraiment mais nous nous somme très vite rapprochés, il faut dire que nous avions un point en commun, nos ainés étaient mariés ensemble. On ne peut pas dire que se fut un cadeau mais je ne savais pas tout se qui lui fessait enduré c’est plus tard qu’il m’a expliqué. Toutes les fois que je lui parlais de ses deux la il me semblait que quelque chose le dérangeais, il n’était pas a son aise mais j’ai bien vite compris que son frère voulait diriger sa vie mais il n’osait pas m’en parlé puis que cela concernait aussi ma frangine, Paul était pas très hardi mais il était vraiment gentil, cela me changeais de ma famille. Il m’apportait l’amour, ce que je n’ai pas pue avoir près d’eux pour eux je n’étais qu’un meuble, plusieurs fois il m’a raccompagné oh ! en cachette bien sur je pensais que c’était à causse de ma mère mais il m’a fait comprendre que son frère ne valait pas mieux, il m’a dit si nous allons plus loin dans notre relation se ne seras pas facile pour moi comme pour lui, il m’a demandé tu penses pouvoir faire face, je me souviens lui avoir répondu, ils ne vont pas construire notre vie pour nous, je croyais que Paul se fessait des films mais que son frère au fond le laisserait vivre sa propre vie, mais je me suis bien trompée à son égard il était plus sale bête qu’il le laissait paraitre nous avons continué a nous voire en douce, mais notre amour fut plus forte que nos craintes ! Nous étions si heureux ensemble puis quand on n’est jeune on na peur de rien, ont vivaient notre amour passionnément c’était le bonheur pour nous mais aussi une crainte pour l’annoncé a nos familles, nous avions raison cela a été très mal pris, Paul avait raison ils se sont tous montés contre nous, je n’aurais jamais imaginée avoir tans de problèmes pour pouvoir aimé et être aimée, les mois on passé puis nous avons projetés de nous marié la se fus l’horreur les familles de chaque coté étaient contre nous pour tans sa gentillesse était débordante, et se n’étais pas un flémard mais il n’avait pas de place fixe comme son frère, qui lui était bien placé, mais il na pas conscience de ce que son les valeurs humaines, il ne comprend pas que l’amour que nous vivons et un bien précieux cela explique le refus de la famille envers Paul, pour nous cela ne fait pas de doute c’est bien son frère qui monte tous les autres contre nous il ne voulait pas admettre notre amour et a causse de leur bêtise humaine on n’a payé le prix fort le jour ou j’ai essayée de le faire comprendre a ma mère, que Paul était bien l’homme que je voulais épouser vous pensez bien ce n’étais pas moi qui avais raison mais Antoine le gendre idéal lui avait une bonne situation, un jour ma mère a organisée un repas pour tous et quelque membre de sa famille je lui aidée pour la préparation, mais je ne savais pas se qui nous attendaient, il y avait un piège moral et sentimental. Une conversation en amène une autre et la, ça dégénère en dispute assez coriace et comme par hasard Paul n’avait pas raison comme toujours la je n’ai pas pu m’empêchée d’intervenir et la l’homme parfait aux yeux de la famille en a pris pour ses sous, c’est comme cela que l’on dit chez nous. Je me souviens avoir traitée Antoine de tout les non jusqu'à de salopard vous pensé sa réaction pour l’homme parfait a son tour et avec un regard blessent il nous dit, vous n’irez pas jusqu'à l’autel je vous en empêcherais oh ! Comment compte tu t’y prendre, tu n’a pas tout les pouvoirs en mains. Et d’un air froid il me répond par tante Jeanne qui à la mort de votre père fus désignée comme votre tutrice imaginé notre colère à ses paroles mon sang à fait qu’un tour, et la nous nous sommes levé et l’ont s’apprêtaient à partir quand il me dit faudra aidée la mère pour rangée la maison. En franchissent la porte ma réponse a été claire vous le ferrés pour une foie je ne suis plus votre bonne a tout faire, se qui nous fait le plus de mal est qu’au qu’une  autre personne on pris notre défense au contraire toute la famille soutenait Antoine, je lui est simplement fait remarqué en ferment la porte, si toi tu a le droit d’être heureux alors nous aussi, oui me répondis mais pas avec lui pourquoi tu à quelque chose de plus que ton frère il me répond je n’est pas de la peine Paul était déjà par la coure il n’a pas entendus, mais moi oui ,la tu dépasse les bornes, oui je le reconnais tu a bien quelque chose de plus ou de moins je ne c’est pas comment te le dire en somme la chose en plus est la méchanceté tu n’as pas de cœur puis nous somme partis à la maison que nous dévions prendre en location c’était un ami de Paul on a la clef provisoirement bien sur, mais la je me souviens on a éclaté en sanglots puis on s’est repris, Paul m’a dit il auras le dernier mot comme toujours, j’ai vue combien cela le fessait souffrir moi je lui est demandé de me faire confiance pour notre amour j’irais au bout du monde avec toi, mais je ne renoncerais pas a un amour si fort ne t’inquiète pas ne baissons pas les bras il faudra qu’il se rende compte de ses erreurs à notre sujet. J’ai  pris les devants le lendemain matin je me suis rendue chez tante Jeanne et je lui est tout expliquée la façon d’ont-ils nous traitaient elle me regarde en souriant, et elle me dit je suis au courant ta sœur et venue mais je ne suis pas d’accord avec eux vous avez ma bénédiction, ca ne leur regarde pas ils sont heureux alors pourquoi pas vous ne vous laissés pas faire si vous vous aimés foncés, moi je suis de votre coté que cela leur plaisent ou non c’est pas grave ils se calmerons nul à le droit de rentrer dans la vie des autre pour des raisons personnelles, elle m’a offert le thé elle m’a aussi promis de venir a notre mariage elle je la sentait sincère et moi si heureuse après un telle réconfort. Le soir, on s’était donné rendez-vous à la maison que nous devions prendre en location nous avions tellement peur d’être déçu, et la personne ne pouvait si rendre ils n’étaient pas au courant et le visage de Paul fessait plaisir a voir quand je lui annonçait la bonne nouvelle son visage c’est illuminé de joie, notre chemin de croix était finis nous somme allez chez le propriétaire de la maison et la pas de problème, on avait les clefs définitivement imaginé notre joie après nous somme partis à la recherche du travail dans les usines moi il leur fallait 3 personnes un coup de chance, Paul par l’intermédiaire d’un de ses copains a pu entrer en maçonnerie à l’époque il fallait de la mains d’œuvre nous avons beaucoup de chance de se coté là. Cela nous sortait des griffes de ces rapaces c’était le village à coté nous avons enfin réussie ils ne peuvent plus rien contre nous, on commençait a y voire plus claire, a croire enfin au bonheur bien que le malaise familiale était toujours la bien présent mais tempi, on n’était jeunes et ont avaient trouves la porte de sortie. C’était  plus facile pour moi Paul avait une maison de famille il faudra la mettre en location c’est bête mais on n’a pas le choix notre couple ne pourrais certainement pas faire face avec son frère a coté les remarques finiraient par nous séparés il habite juste a coté, Paul avait reçu cette maison d’un oncle se qui explique les embrouilles, moi j’ai travaillée encore quelque temps chez ma mère je ne pouvais pas arrêtée comme cela se serais été mal vu, le salaire était pas gros mais cela suffisait pour acheté le nécessaire du linge, des ustensiles de cuisine pour les meubles nous auront ceux de Paul il ne son pas neuf mais ce n’est pas grave, plus tard ont en achèteras des neuf. Paul lui débute son travail 2 jours après s’être présenté ont étaient comblés comme des enfants devants un cadeau, nos projets continus ont peut alors fixer la date du mariage enfin ! Mais nous étions les seuls à nous réjouir mais c’était si excitant de pouvoir enfin être heureux et pouvoir tournés la page, c’était ce que l’on croyait donner un autre sens a notre vie et cela ne seras possible qu’une fois installé loin de la famille ils ne pourront plus contrôler nos faits et gestes. A l’époque on ne restait pas longtemps en fiançailles pour ceux qui avaient la chance d’avoir ce genre de cérémonie, pour nous le mariage était organisé dans la simplicité juste les proches qui voudrons se joindre a notre bonheur, nous espérons que certaine ne viendrons pas, ils ne seraient pas les bienvenus mais encore une fois de plus la malchance nous rattrape nous n’avons pas le bonheur de voir qui sera présent malheureusement le mariage n’auras pas lieu du moins pas tout de suite. Un autre obstacle surgis et il fut encore plus dur a combattre la séparation est inévitable, Paul est appelé à la guerre d’Algérie et là pas question d’y échapper se fut comme un coup de sabre en plein cœur pour l’un comme pour l’autre, Paul avait réalisé temps de projets pour notre avenir mais que faire,  il fallait le prendre et ne rien dire mais se qui fessait le plus de mal c’était de voir que personne de la famille aurais dit un mot de réconfort il ne lui on même pas souhaité bonne chance personne ne s’est proposé pour l’accompagner au train, c’est un ami qui l’a emmené, moi je n’est pas pue m’y rendre avec regrets mais au font de lui je pense qu’il préférait que nos adieux ne se face pas sur les quais de gare, nous avons restés deux jours et deux nuits sans se quitté, enlacé l’un contre l’autre comme si on ne se reverrai pas, il aimait bien écouté la musique j’ai donc sortie mon tourne disque et nous avons écoutés ses chansons préférés, c’était dur de voire que personne ne l’aimait a par moi bien sur. Il aurait été si heureux si comme les autres la famille se préoccupait de son sort, mais lui est partis comme un étranger il ne lui on même pas souhaité bonne chance n’y donné une étrenne comme cela ce faisait couramment au départ d’un jeune militaire, à la guerre il y ai partis mais il n’est pas revenu malheureusement, et ce fut encore la destinée qui nous poursuis et qui s’acharne sur notre vie, souvent j’y repense et je me dit qu’il s’est laissé surprendre surtout que c’est lors d’un entrainement que l’accident c’est produit et non en combat il devait pensé a autre chose ou a-t-il baissé les bras sur un coup de fatigue. Pourtant nous aurions été si heureux si chacun était resté à sa place il savait que je l’attendais mais la misère et la solitude le rongeait le jour de son départ il m’a dit prend bien soin de toi et prend garde aux autres, je le réconfortais mais au fond de moi je ressentais la même chose, je lui dis toi aussi fait bien attention. Je t’écrirais tout les 2 jours mais toi répond moi a notre nouvelle adresse pendant ton absence je préparerais notre maison pour qu’a ton retour se soi accueillant, puis nous ne savons pas pour combien de temps tu resteras se ne seras peut être pas long ,de toute les façons je serais la a ton retour ne craint rien moi je ne t’abandonnerais pas, il laisse paraitre un sourire mais au fond de lui il était si triste à quoi pense tu lui est je demandée, ses yeux étaient gorgés de larmes, il me dit c’est à toi que je pense, je ne voulais pas qu’il voie ma peine je me cachais en lui fessent croire que je me mouchais mais une boule se m’était en travers de ma gorge je ne lui est pas répondue, mais je lui est donnée une photo, pour qu’elle te porte chance garde la sur toi. Puis je l’ai embrassée en lui disent soi courageux ensemble on s’en sortira. Mais une fois la porte refermée je me retrouve seul a la maison je n’est pas pue retenir mes larmes en serrent sa photo que j’ai de lui, il ne me reste que son sourire et sa gentillesse touts les 2 jours comme prévue je lui écrivais et il me répondait, puis vient le jour fatal que je redoutais, et auxquelles je ne devais pas pensée pour gardée un peut d’espoir 1 mois et demi après son dépars se fut le drame, il venait de recevoir une balle en plein cœur, bien sur c’est sa famille qu’y a été prévenue par les autorité  et comme pour ne pas changé c’est son frère avec une de ses sœur qui son venus me l’annoncé moi qui finissais de rangée mes affaires pour emmenée dans notre maison, les siennes je les avaient préparées les jours précédent comme je lui avais promis, imaginé ma réaction se fut pour moi un grand choc, surtout que le matin même j’avais reçu une lettre de sa par il me paraissait assez bien intégré dans son bataillon il était content une perme était prévue pour la semaine après, croyez moi se fut dure a admettre, peut être se fut mon imagination moi qui était si triste, je voyais sur le visage de sa famille une lueur, un sourire égoïste comme si il avaient gagné une bataille Paul avait raison il auront le dernier mot. Moi dans leur regard je ne savait pas si je devais les croire ou si c’était un canular au fond j’aurais préférée cela me paraissait impossible tans d’amour partis en fumée, tans de sacrifice je leur est simplement dit je me souviens que vais-je faire sans lui il ma répondu tu t’en remettras tu n’est pas la seule, je lui dit alors rien ne peut atteindre même pas sa mort, je reconnais bien la ton coté pourrit il ma fallu un certain temps pour admettre et reprendre mes esprits puis je leur est dit que je voulais allez avec eux  le voire une dernière fois ils n’ont pas voulus sa réflexion la voici tu ne le reviendras pas, voilà leur réconfort que faire j’étais seule avec mes blessures je ne fessais pas la loi contre  leur haine. Je me suis enfermée a la chambre et la j’ai pleurée et priée pour que le bonheur que Paul n’a pas eu sur terre il le trouve la ou il est c’est bien dommages de ne pas pouvoir le partagé ensemble. Mais protège-moi  comme tu le faisais près de moi souviens toi de notre amour, ton départ ne me ferons pas oubliée tous ses bon moment passé ensemble que puis je faire d’autre. Je les entendaient a la cuisine ils discutaient comme si de rien n’était parfois ils riaient, moi ils mon laissée seule avec ma tristesse et mon d’espoir le lendemain matin ils sont venus toute sa famille je n’étais pas levée je n’est pas sue le motif de leur visite se n’était certainement pas pour leur pitié, mais plutôt pour se foutre de notre malheur car la mort de Paul les laissent indifférent pour les funérailles je n’est pas u mon mot a dire ils ont fait à leur manière le plus rapide, en arrivant a la maison son frère dit a ma mère Henriette n’est pas la  il pensait que j’étais dans notre maison mais je n’avais pas le courage, j’aurais pourtant du j’aurais pas entendue les horreurs a notre égard ma mère lui répond elle pensait que je dormais mais j’ai tout compris, non elle est dans sa chambre il faudra bien qu’elle si face moi a la mort de votre père je ne restais pas couchée, se son ses paroles mais a la seule différence avec mon père il est mort dans sa maison entouré des sien, alors que Paul est mort seul loin de moi par ce que les sien n’avaient pas grande compassion pour lui et il le savait j’étais la seule a l’aimé vous pouvez me croire entendre des méchancetés pareilles font mal a écoutée il faut être dure pour y supportée sachant que mon Paul je ne le rêverais jamais mais leur tête si malheureusement. Après les funérailles je me suis rendue dans la maison que nous avions louée ensemble au moins je n’aurais pas a supporter des conversations qui me font temps de mal et qui son insoutenable ,mais sens lui la maison était si froide on n’avait crus au bonheur, mais je dois me rendre a l’évidence c’est bien fini personne ne peut croire mon calvaire alors je lui parle mais sans réponse mon visage et ravagé par les larmes pas un membre de la famille mon accompagnée se fus le plus dure après sa mort ils n’ont pas pris de mes nouvelles le soir même. Il était environs 18 heure la porte du couloir claque c’était tante Jeanne qui ma apportée de quoi mangé, oh il ne fallait pas vous dérangée je n’est pas faim, mais comment peut tu croire que cela me dérange mange un peut tu auras plus de forces et puis pense un peut a Paul, il ne voudrait pas te voir triste mais je suis seule, non je suis la moi je ne te laisserais pas crois moi, mais il faut te reprendre pour lui et pour toi, ses paroles mon données du baume au cœur vous êtes bien la seule a prendre de mes nouvelles, puis elle est repartie le  lendemain matin ma mère  est venue je pensais quelle avait réfléchie et quelle m’apporterait un peut de réconfort mais pas du tout elle ne ma même pas demandée si j’avais dormie, vous avez qu’a voir combien ma douleur la touchée se quelle voulait savoir c’est comment je travaillais pour pouvoir lui rendre service au magasin ma réponse est été claire je ne peut pas  appelle Antoine le gendre idéal lui il ne te refuseras pas.la elle me répond tu te trompe je n’est rien a voire avec vos histoires, pourtant jamais une foi tu a pris notre défense tu avais choisie ton camp alors laisse moi il faut que je me repose ,et que je face le point ma douleur pas plus que mon amour vous ne pouvez pas la comprendre, je me suis reposée quelques jours puis j’ai commencée le travail pour le qu’elle je m’étais battue avens sa mort je ne dépend plus de personne puis j’ai appris de source sur que aucun membre de sa famille ne c’était présenté pour le voir a son retour en France ,se son deux de ses amis qui y son allez il pensait que je ne le savais pas, il ne me l’aurais jamais dit si je l’avais su j’aurais pu les accompagnés c’est le plus grand regret. Les autorités leur avaient remis ses effets personnelle  qui mon apportés c’est comme cela que je l’ai su, ils ont été obligés de vérifier son sac et là il ont vu une lettre que Paul avait laissé pour moi, puis il demandait que ses affaires me revienne ce qui a été fait il avait pris soin comme si il devinais ce qui se passerais il avait amené ses meubles, son argent il m’avait dit serre toi en pour acheté se qui nous manquent et surtout ne leur en donne pas je n’est donc pas tardée pour dire a son frère que de sa part c’était une honte au départ il fessait comme si c’était une plaisanterie puis, quand il a vu que j’était bien informée, il m’a dit cela ne te regarde pas vous n’étiez pas mariés, malheureusement sinon les choses ne se serais pas passé comme cela, tu ne l’aurais pas revenu non mais accompagné moi je l’aimais, c’était un garçon droit et bon tout le contraire de toi ! Il m’a donné tant de réponse qui ne m’intéressait pas alors je suis repartie avec mes souvenirs et une grande peine, sachant que ce sont toujours les bons qui payent pour les ordures. Si je raconte aujourd’hui cette épisode de ma vie ce n’est pas pour me faire plaindre ni pour oublier le passé mais mon amertume ,et ma tristesse son toujours présente j’ai vieillie mais la douleur est aussi grande que par le passé, je lui demande qu’une seul chose de veiller sur moi comme il le fessait par le passé, avec autant d’amour, ma vie à continuée mais elle n’est pas plus belle qu’à son départ, dire que nous aurions pu être si heureux si la vie nous en avait donnée le temps, ma vie je l’ai refaite comme l’on dit mais bien souvent je me dit avec parfois un peut de peine pour ceux que j’aime que si j’avais pue le suivre ça aurait été pour moi la fin de ma souffrance. Ma vie je l’ai continuée bien sur, le travail d’usine me permettais de voir un peut de monde, puis mes voisins étaient assez sympathique, mais la solitude elle aussi est toujours présente temps de souvenirs refonds surface chaque jour s’écoule lentement, puis un jour à la sortie de l’usine je rencontre un garçon assez charmant un soir il m’offre un café, je n’étais pas très enthousiasme, mais je ne lui est pas refusée ce n’était que de l’amitié pourtant j’avais l’impression de trahir Paul comme si je n’avais pas le droit de vivre mais pour moi c’étais trop tôt je n’étais pas prête pour une nouvelle rencontre, il était souvent là il me relançait cela ma pris du temps, mais j’ai fini par acceptée de sortir avec lui. Jacques était célibataire et travaillait en famille ses parents ses sœurs c’était une affaire familiale jusqu’ici cela me paraissait normal mais nous avions un peut peur de leur réaction  vu que la les familles n’avaient pas le même patrimoine,  à l’époque cela contait  ses parents étaient plus riche que ma famille, puis moi je me méfiais des miens vu leur indifférence envers Paul, mais cette fois la famille la bien acceptée, est ce mon bonheur ou sa situation ? je ne le sais pas tout ce que je demande c’est qu’il me foute la paix ce qui d’ailleurs n’a pas posés de problème. Nous somme  sortis ensemble deux années avant de nous marier il m’avait promis le bonheur cela me paraissais trop beau pour être vrais il avait l’air sincère, mais cette foi c’est sa famille qui ne m’accepte pas pourtant je l’ai épousé il m’a promis que tout s’arrangerait plus tard avec le temps, il me dit tu sais ils sont vieux jeu, mais le temps me paraissait bien long, je n’avais pas ma place dans la famille je n’étais pas la bienvenue, une fois de plus il fallait me taire, je me suis bien vite aperçue que mon calvaire allait continué, j’ai du me résoudre a ne plus voire les miens toute au moins très rarement, toute les fois que je parlais de passer le dimanche chez moi cela faisait des histoires a n’en plus finir pour lui c’était tout des grimaces alors que lui voyait sa famille tout les jours et souvent les dimanches il me donnait comme raison le travail du lendemain mais je me suis rendue compte qu’il se rendait chez les parents avec le reste de la fratrie ils étaient tous de mèche, et lui croyait tous ce que les autres lui racontaient sur moi et sur les miens a l’époque nous avions pas le choix quand j’essayais de lui ouvrir les yeux il me disait toutes sortes de méchancetés, un jour en passant devants la maison de ma mère je suis entrée pour lui dire bonjour elle avait des amies qui prenaient le café une de celle-ci lui dit quand tu te rends chez Henriette cela te passe un moment, ma mère répond elle n’a pas besoin de moi elle a ses beaux-parents, elle n’a pas besoin de moi que voulez vous que je réponde pourtant, les parents de Jacques ne venaient pas pour papoter, mais pour mettre la pagaille dans notre couple, ma mère ne venait pas souvent elle ne voyait pas ses petits enfants mais moi je n’y pouvais rien je les ai élevés seule sans conseil de ma mère cela m’a manquée mais mes quatre enfants deux garçons et deux filles Armand, Remi, Corine et Léa, ils étaient mon seul réconfort leur sourire me fessait revivre, ils étaient si tendre et innocent heureusement petit ils ne comprenaient pas ma souffrance. Aux yeux de Jacques et de sa famille la seule chose qui les importaient c’étaient que je face le ménage, les repas, les dimanches après-midi souvent toute la famille de son coté se pointait, et dans notre région la coutume veut que l’ont partage un gouté assez copieux, je n’avais pas mon mot à dire et quand je parlais de ma famille il était odieux, si il passait nous rendre visite si je lui le disais, soi il ne restait pas et rentrait a la nuit. Au début de notre mariage le plus jeune de mes frères me dit se serais bien maintenant que nous somme tous adulte, nous pourrions accompagnés notre mère sur la tombe de notre père pour l’anniversaire de sa mort, c’était le plus jeune mais le plus intelligent j’ai trouvée l’idée assez bonne malgré le passé et je lui ai dit c’est d’accord, mais au retour du travail de Jacques je lui en ai fait part il ma répondu tu iras mais ne compte pas sur moi. Je m’y suis rendue et j’ai due trouver une excuse mais ma mère ne ma pas crue elle avait l’air un peut déçue le lendemain matin en allant chercher mon pain j’ai croisée sa mère je croyais qu’elle comprendrait mais il en n’est rien sa réponse m’a fait beaucoup de mal et j’ai compris que tout ne venais pas de Jacques. Elle m’a dit quelle idée il n’a rien à faire il n’est pas de la famille. J’ai alors compris, je regrette que ma mère a cause d’eux ai très peut vue ses petits enfants croyez moi j’ai honte aujourd’hui, je suis grand-mère a mon tour et je regrette mais c’est trop tard. Cette usine était une affaire de famille ils étaient toujours ensemble il n’avait pas la place qu’il croyait mais  devants la famille il s’écrasait. Puis 6 ans après notre mariage il fus victime d’un accident de travail qui l’immobilisait pendant des mois, mais à son retour sa place était prise par un de ses beau-frère, là les histoires ont commencées et il ne l’on pas repris, je l’avais mis en garde mais pour lui la famille c’était tout il a vu ou cela la mené, c’est la que je me suis aperçu que la famille l’avait manipulé, pour le racheté il lui on versé une somme d’argent mais il n’a pas fait marche arrière et avec cette somme et quelque économies il à monté sa propre entreprise de maçonnerie il à même débauché un de ses collègues, cela ne m’a pas déplus sa famille l’avait bien méritée. Et là je devais gérer les papiers m’occuper de la gestion comme l’on dit aujourd’hui j’ai crue voire un peut d’espoir et que nous aurions enfin une vrais vie de couple et de famille mais rien ne change c’était trop tard il a continué de vivre comme par le passé les dimanches il se rend sur les chantiers il aurait pu faire passé sa vie privée avant mais non, les enfants et moi n’étions pas ses priorités lui sa vie c’était le travail le matériel, je ne peut pas dire que se soi un mauvais père il n’à jamais lever la mains sur eux mais cela ne fait pas tout ça ne remplace pas l’affection d’un père pour ses enfants de tans en tans il menait les garçons avec lui le soir pour voire des chantier mais c’était bien tout ce qu’il fessait avec eux. Quand à moi je ne connais pas vraiment la vie de couple pour lui cela se résume à mangé a la même table vivre sous le même toit, dormir dans le même lit pour le reste cela s’arrête là pour moi ce n’est pas ca de l’amour, l’amour c’est autre chose, quand il m’embrasse bien que se soi pas souvent j’ai l’impression d’embrasser mon frère le vrai baissé amoureux il y a fort longtemps que je ne l’ai plus. Si je n’avais pas les enfants, croyiez moi je serais allez voire ailleurs car plus je vieillie plus cela m’est dure à supportée se n’est pas la vie dont je rêvais, et qu’il m’avait promis avant de se marié il n’était pas si froid certaines personnes disent avoir gâchée leur vie, moi ma vie ont me l’a volée tout simplement. De mes enfants je n’en est pas vraiment profitée, petit j’aurais aimée les accompagnés à l’école comme les autres parents mais il fallait faire passé le travail avant tout, fêtée leur anniversaire avec joie, les gâter leur offrir se qui leur aurais fait plaisir, mais je n’est pas eue cette chance et souvent j’y repense et je me dit j’ai vraiment tout laissé passé les bons moments en leur compagnie ; je me disais si a leur tour ils ont des enfants je me rattraperais, mais pour moi la malchance continue, c’est si rare de pouvoir les serrer dans mes bras, ou de pouvoir les avoir près de moi pourtant j’espère qu’ils savent combien je les aiment c’est toute ma vie, je préférerais être amputée d’un membre c’est moche de ma part de dire cela alors que certaine personne son handicapé mais se que je veut dire par ses mots c’est la souffrance pour moi de perdre mes enfants à causse de leur père m’est insupportable. Deux habitent à une trentaine de kilomètre mais les deux autre sont plus loin un est à Antibes l’autre à Nice c’est pas souvent que je les vois quand ils viennent ils couchent à la maison moi je suis si heureuse mais Jacques ce n’est pas réciproque, pourtant ils ne savent pas se qu’ils peuvent nous faire ils sont adorable puis pour moi voir les petits et une bouffée d’air lui sa seule parole quand je lui dit qu’ils arrivent ses mots son les suivants tout cela pour nous faire des frais, celui qui est a Antibes vienne une fois par an il on les deux familles mais les remarques son les même, pour ceux qui son plus près se n’est pas mieux les enfants non jamais droit a un biscuit ou un bonbon pour les enfants cela m’est très dure surtout que se n’est pas souvent, mais si des enfants de ses collègues viennent il me dit tu ne leur donne pas un bonbon que puis je dire. Il ne peut pas accepter leur bonheur tout se qu’ils vivent a ses yeux son que des grimaces. Un jour ma petite Laure elle a 8 ans, me dit tu nous donne jamais de gâteau ni de bonbon tu sais mamie Claire elle nous donne toujours quelque chose tu n’en a pas, est ce que tu nous aimes pas croyez moi entendre cette parole me fait mal venant de la bouche d’un enfant, ma petite fille ne peut pas se rendre compte alors je la rassure et je lui dit non je n’y pense pas par contre tu ne doit pas doutée que je vous aiment beaucoup mais les enfants les questions n’en finissent pas ,alors pour ne pas être prise au dépourvue je lui est dit vient nous irons ramasser un bouquet de fleurs par les prés et tu les emporteras dans ta maison en souvenir de moi, en souvenir de moi la son petit visage s’est illuminé a son départ je n’est pas pue m’empêchées de pleurée, de pensée que ma petite fille pense une chose pareille moi qui l’aime temps, et Jacques était là lui ne peut pas admettre que cela avait un rapport avec notre petite Laure n’y si j’était malade non rien de tout ça le perturbe, mais avec sa voix rustique il me dit tu n’auras pas bientôt finis de niôle, la j’ai essayée de lui expliqué lui dire la question de la petite qui la perturbe et me fait beaucoup de peine, je croyait qu’il me comprendrait que les enfants à cette âge il leur étaient dure de faire la différence du bien et du mal, puis ne pas avoir les mêmes gâteries chez les grands parents, sa réponse à été claire se son ses propres mots que je vous dit (elle est mal élevée c’est une petite merdeuse) comment peut il parlé de cette enfant comme cela j’ai honte d’entendre des mots pareils et je ne peut pas lui faire comprendre qu’il ont toussent besoin de nous différemment ,quelles que moi après c’est notre fils Armand qui me dit au téléphone venez passé quelle que jours a la maison, les enfants serons si heureux de vous avoir et nous aussi mais je n’est pas eu la force de lui en parlée sachant que il ne voudrait pas, alors une fois de plus j’ai arrangée les choses du mieux que j’ai pue, mais mon fils me dit c’est le père qui comme d’habitude ne veut pas alors tu n’à qu’à venir seule cela te feras des vacances, je ne sais plus quoi faire j’aimerais bien mais je sais les problèmes que cela va procurer puis je me dit ai-je le droit de le laissé malgré les circonstances. Alors je renonce je n’ai pas le courage. Puis celui de Nice quand ma belle fille attendait mon troisième petit fils eux aussi voulaient que l’ont passe quelque jours avec eux, nous les avions pas revu depuis décembre, et notre petit minou de son prenons Julien et né en juin, j’ai donc dit à son père les enfants désirs nous voir et les petits nous réclame mais si j’avais su je ne lui en aurais pas parlé il ma dit des méchancetés sur ma belle fille et sur notre fils alors j’ai renoncée et je les ai appelés pour prendre de leur nouvelles mais j’était si triste qu’il ont bien vu que quelques choses se passait, mon fiston ma pose des questions bien sur je n’est pas tout dévoilé, il me dit ne te fait pas de bille, tu n’y est pour rien mais je sentais qu’au fond de lui la tristesse le rongeait on ne temps veut pas, on te comprend mais le père un jour il le regretteras crole moi je sentais la haine montée en lui pourtant il n’est pas méchant mais a force leur patience a des limite je les comprend. Le jour de la naissance ils nous ont appelés pour me dire comment ça c’était passé puis il mon dit son prénom, tout allait bien alors pour moi c’était un soulagement mais Jacques est resté de marbre il ne ma pas même demandé comment il l’appelait n’y si tout allait bien, je ne peux pas le comprendre la vie est si courte. J’aimerais tellement faire plus de chose en famille mais je ne peux pas, alors pour les fêtes de noël je les rejoints autour d’un repas simple mais je ne peux pas faire plus, pourtant j’ai tellement d’amour à transmettre mais même cela je ne peux pas. C’est pour cela que je dis que la vie ma tout repris, ma joie mon sourire tout ce que l’on devrait tous avoir droit, rire je ne sais plus ce que ce mot veut dire, pour moi il n’a plus de signification. Depuis notre mariage ma vie je l’est consacrée a mes enfants c’est bien la seule chose que je ne regrette pas, le reste de mon temps je l’est consacré pour son entreprise, puis il y à une dizaine d’année j’ai du passer mon permis pour rendre service a ses parents sur leur vieux jours comme boniche tout simplement mais je le fessait pour les enfants c’étaient leur grands parent. Aujourd’hui Jacques est en retraite mais cela na rien changé pourtant certaine personne pense que j’ai de la chance elle me dise tu profite de tes petits enfants, ou vous avez bien de la chance d’être tout les deux vous vous pouvez vous soutenir mais il ne voie que le bon coté des choses en réalité se n’est pas la vie que je vie, j’ai le reflet d’une personne comblée mais souvent dans mes moments de solitude, je me dit la solitude me serait pas plus dure a accepté que la vie que j’ai aujourd’hui. Bien sur il y à 15 ans il a construit notre maison avec un petit coin de pelouse j’y avais plantée un arbre un  magnolia, alors je passe mes journée assise dessous avec un livre pour oubliée un peut ma peine, mais cela ne remplace pas la famille. Nous avons aussi un petit pied a terre dans le midi pour lui cela devrait me suffire mais le matérielle ne peut pas combler ma peine, j’essaie de me persuader que je ne suis pas la seule dans ce cas mais c’est très dure, quand il faut le vivre au quotidien pour moi c’est très dur, le plus dur c’est pour les enfants eux voient la vie autrement je les comprends. Ils voudraient que nous fassions beaucoup de chose comme fêter notre anniversaire de mariage mais Jacques ne veut pas en entendre parlé, le jour ou je lui l’est dit sa réponse a été claire (pourquoi nous faire des frais supplémentaires nous c’est différent) voilà ses propres mots le plus triste et de le dire aux enfants alors je range les affaires comme je peut pour qu’ils soient le moins déçus et tristes, mais leurs paroles me montre le contraire, pauvre mère ce n’est pas juste mais que faut il faire. Le pire c’est que je ne lui en veux pas c’est sa famille qui l’on montée contre moi. Il connaissait mon passée Jacques lui était un ami de Paul c’est peut être pour cela que j’ai cédée à sa demande au début il n’était pas comme cela mais sa famille vivait à l’ancienne et lui aujourd’hui réagi comme eux, je m’en veut de ne pas avoir réagie et d’avoir été plus vigilante, au début en se qui concerne ma mère l’avoir privée des enfants je n’en n’avais pas le droit, de ne pas lui rendre visite malgré nos différences par le passé. Une vielle dame du village me disait un jour ou je lui avais dit les problèmes que j’avais, elle m’avait dit cela tu ne devrais pas laissée ta mère pour eux, cela ce retourneras un jour contre toi, souvent j’y repense et je me dis elle avait raison moi je suis privée des miens, et je vois la tristesse que je lui ai imposée malgré moi, juste pour avoir a ne pas supportée les méchancetés de la famille adverse et de Jacques lui même. Mais une autre personne ma dit un jour ou le cafard me rongeait assisse a l’ombre de mon arbre seul avec ma solitude, la vie pour moi n’à plus de sens, cette personne passait à  bavardée quelque minute la elle me dit tu retrouveras ta liberté j’en suis sur ne repasse pas le passé vie pour toi, la je lui est dit ma liberté je ne peut pas la retrouvée on me la volée tout simplement, alors les jours passe avec ma tristesse, se qui me fait le plus souffrir c’est d’entendre d’autre mamie parlée des vacances ou elle garde leur petit enfant a tour de rôle, je me dit la famille c’est pourtant la plus belle chose et je ne peut pas y avoir droit, mon cœur et si triste quand je vois les enfants je ne peut pas leur posé des questions sur leur travail n’y sur les mômes pour Jacques cela ne nous regarde pas, ou ce n’est que des grimaces, pour une mère c’est très dure a vivre. Un jour notre fils et venu nous voir sur notre lieu de vacances et nous à dit que par son travail il passerait une foie par mois pour nous rendre visite, il passeras la journée avec nous cela ma fait supère plaisir mais une fois partis son père ma dit il ne va pas venir tout les mois mais pour qui il se prend imaginé ma douleur entendre des paroles de se genre. Armand qui est a Antibes son épouse avait un problème de santé il aurait aimé que l’ont puis descendre quelques jours il nous offrait le train, mais ils ont qu’a se débrouillé se son ses mots je n’ai encore une fois pas mon mot à dire, pourtant j’aurais aimée être au près deux pour les secondés, en vérité il n’y a que sa vie qui l’intéresse c’est sa seul priorité, comment peut on en arrivé la ! Je me posse la question mais qui reste sens réponse, le jour de la fête des mère je reste seul mes enfants son en famille le soir il me téléphone ça ma un peut réconfortée mais entendre leur voix sans les voire me donne les larmes aux yeux, mais je ne laisse rien paraitre pour ne pas gâchée leur journée, le lendemain j’ai reçu un énorme bouquet de fleures de la par de tous, la j’ai éclatée en sanglots je n’est pas pue résistée de voir qu’ils ne m’oubliaient pas, mais Jacques était la, sa rage et sa jalousie on parlée pour lui (que de grimaces) et sur ses mots il est partis sans dire ou il allait, mais je vous dirais je me fout pas mal la vie de couple il en n’à rien a cirer, mais la vie de famille c’est pareille tout le laisse indifférent. Au printemps les enfants pensaient nous faire une surprise en se réunissent pendant les vacances scolaire, un matin sa sonne a la porte j’ai due changer de couleur c’était les deux plus loin qui venaient par surprise avec leur petite famille, les autres les attendaient, moi j’était si heureuse de les voir, mais quand ils ont dit la raison de leur visite Jacques à rien trouvé de mieux a leur dire encore une de vos inventions ne conté pas sur moi pour ses conneries au lieu de se réjouir, puis il ma jeté un regard froid et il ma dit vas y sans moi, la Armand a dit a son père maman elle est trop bonne, c’est une honte un père comme toi Rémi le seul a être plus calme me dit tu vient avec nous il te mérite pas, ma gorge c’est nouée et avens de craquée je les est tous embrassés et je leur est dit passés une bonne journée tous ensemble je penserais bien à vous tous, Armand me dit maman ne t’inquiète pas tu sais bien que nous ont aiment, et là ils sont partis leur père est partis dans les bois, moi j’ai refermée la porte, et ma solitude à repris sa place dans ma vie c’est comme si je n’avais quelle comme compagne. Le lendemain je les est tous appelés ont à pleurés ensemble avec les quatre se fut pareille nous n’avons plus de père mais comment peux tu supportée cela et ne rien dire, tu mérite mieux que cela il gère ta vie comme une entreprise ce n’est pas normal, je ne peut pas répondre une boulle se forme dans la gorge si seulement je pouvait les serrer contre moi les plus grand de 40 ans comme les plus petits de 6 mois  la vie s’écoule et quelque temps après mes filles étaient avec moi et l’ainée Odette me dit en parlent de chose et autre, dit grand-mère Marinette comment ce fait elle que l’on ne la voyait pas beaucoup y a-t-il une raison a cela Eva ma deuxième fille dit c’est encore un coup du père, la leur question ma pris de court et je leur est répondue non votre père n’a rien à voire dans cela mais avec grand-mère on n’avait pas les mêmes idées mais aujourd’hui je regrette le passé, je savais que je leur mentait , mais je ne pouvais pas dire la vérité sur leur père elle était assez remontée contre lui et pourtant c’était le cas la famille paternelle a tout séparé et brisée notre vie, mais j’ai l’impression quelle savent quelque choses que devais je faire laissé plané le doute ou dire la vérité au risque de finir de détruire le peut qui reste de notre famille.et les mésaventures continue comme dans un film puis si ce n’est pas les un c’est les autres comme dans toutes les familles sauf que dans la notre il manque beaucoup de chose. Un matin mon petit fils Romain me dit j’irais chez vous passer quelques jours et avec grand père on ira a la pèche (c’est comme cela qu’il se fait appelé papi c’est des grimaces) je lui en et fait par mais je savais sa réponse, j’ai autre chose à faire à son âge je n’allais pas a la pèche je travaillais Romain a 8 ans rendez vous compte pour un grand père c’est une honte a mon petit fils je lui est dit tu s’est il ne reste pas tranquille il faut qu’il bouge, et la Romain m’a répondu ne te fatigue pas mamie il ne nous aiment pas tout simplement les autres a l’école dissent faire pleins de choses avec les grand parent mais nous, on n’a pas des grand parent comme tout le monde, cela est dure a entendre pourtant je comprend les petits le lendemain rongée par l’ennuie j’ai appelée ma fille pour lui dire mon regret pour  Romain mais il ne faut pas que Romain pense cela moi je suis là et je vous aiment tous, elle ma répondue non Maman Romain à raison c’est le père qui a tort je me suis mis à pleurée sachant qu’il avaient entièrement raison et mon gendre leur à dit ne vous en prenez pas a Mamie elle n’y est pour rien elle souffre assez comme cela. Je me suis sentie soulagée et je leur et dit ne vous disputés pas à causse de votre père si il l’apprenait, il serait heureux, en somme il ne peut pas supporté votre bonheur pour un père ce n’est pas flatteur, je le vois quand pour des raisons qu’elle qui soi je mentionne des mots des enfants, je n’entend que cette phrase ils son trop bien, pourtant ils ne nous ont jamais demandés quoi que se soi ils se son toujours pris en mains a leur sortis des études alors pour moi voir qu’aujourd’hui ils les traitent de la sorte c’est insupportable les petits enfants ne l’intéresse pas eux ne peuvent pas comprendre, après avoir parlée au téléphone ma fille me dit ne soi pas triste à toi on ne te reproche rien, tu sais ont d’adore et les enfants aussi, par contre le père ne viendras pas nous demandés un service à ce moment nous on ne seras pas la, pensez vous que l’on peut dormir tranquille après de telle conversation mes enfants son toute ma vie, mais ma vie est une catastrophe, j’imagine si je partait la première se serait un véritable désastre oh ! Je ne le verrais pas bien sur, mais la famille dont j’ai temps rêvée n’aurait plus rien pour se rattachée les un aux autres, alors je me cramponné pour restée le plus longtemps parmi eux leur donnée l’amour qu’ils méritent de recevoir de leur propre mère. J’essaye de tuée le temps comme je le peux, je leur confectionne des objets ou des tricots que je leur offre pour noël, je vois bien que les petits voudraient plus, mais je n’ai pas le choix aux yeux de Jacques se son de gros cadeaux, ils en ont pas tous autans dit il, mais je vois qu’ils son déçus. Souvent avant les fêtes sur un coup de cafard, je me dit si j’était morte je n’aurais pas à supportée de telle injustice mais pour Jacques noël et un jour comme les autres, pourtant nous ne faisons pas de frais il pourrait faire l’effort de leur offrir un cadeaux comme il se doit.au décès de ma mère et de ses parents je croyais aussi que peut êtres il changerait mais se fut encor une erreur, au début de notre mariage nous avons vécus chez moi dans la maison que j’avais louée pour moi et Paul ses parents avaient des locations mais elle n’étaient pas pour nous, la j’aurais du être plus méfiante, et ne pas cédée quand il imposait sa loi. Moi je me persuadais qu’en vieillissant il serait meilleur, pour avoir non pas une vie de rêve cela il y a longtemps que je n’y croie plus, mais entourée de la famille ce n’est pas un rêve se devrais être un droit, mais cela aussi il faut y renoncée, je suis catholique mais je ne vais pas souvent à la messe peut être ai-je tord mais je me dit si il y avait quelqu’un au dessus je ne serais pas aussi triste et malheureuse, alors je reste a la maison parfois il m’arrive de prier chez moi, j’espère encore au miracle, on ne sais jamais. Il m’arrive de rêver que Jacques veut recommencer notre vie avec joie et bonheur, mais cela aussi reste un rêve si cela se produisait vous pensez que je lui pardonnerais tout le mal qu’il à pu faire aux enfants, a ma famille et à moi même mais je ne lui en tiendrais pas rigueur. Jacques a l’église il y va tout les dimanches pour quoi faire je ne c’est pas toujours pas pour être plus en accort avec lui. Il y retrouve des anciens collèges de travail ou des anciens clients il est en retraite mais il lui arrive de rendre service comme il dit, puis entre à la maison ont mangent et il fait sa sieste regarde la télévision voilà un dimanche a la maison, surtout que personne ne viennent le dérangé voyez quand nous somme en vacance et que l’ont trouvent des connaissance qui lui plaise cela arrive, en parlent de notre vie de retraité, souvent les conversations nous amène à parler des enfants et il tien un discourt de père exemplaire à mes yeux un vrais hypocrite quand on se seul je lui dit il on de la chance il profite de leur enfants, sa réponse la voilà ils font comme ils veulent çà ne nous regarde pas, ce n’est pas une réponse il ferait pas le moindre effort j’aimerais aussi que mes regrets pour ceux que je n’est pas aimée comme je l’aurais voulue me pardonne. Peut êtres avec se livre des ombres se lèverons sur ma vie et que certaines personne ferons le rapprochement. Aujourd’hui j’ai 67 ans c’est pour moi 67 ans sans amour moi qui en n’est temps à donnée, mes enfants ne connaissent pas mon passé avec Paul peut être aurais je du leur en parlée plutôt aujourd’hui je n’ai plus la force je compte sur se livre pour qu’ils face un rapprochement vis à vis de mon passée les personnages son différent mais cela peut les orientés vers la même direction. En se qui concerne Jacques je voudrais qu’il puis lire ce livre lui qui connaissait mon passée, il savait me réconfortée au début de notre mariage, peut être que les personnages dont la vie est d’écrite lui ferons reprendre sa vie et la notre en mains, et par la même occasion  regarderas se que ma vie a moi et devenue, tristesse, et douleur se son les seuls mots qui convienne à mon existence pourtant je n’arrive pas à lui en vouloir, je me dit lui à été mobilisé en Algérie et c’est bien rare qu’il évoque ses moments, alors on en parle pas mais à t’il vue ou fait des choses malgré lui qui aurais pu le désorienté cependant il n’y est pas resté longtemps 8 mois mais vous me direz il ne faut que quelque instants pour brisé la vie d’un être humain, quand nous avons parlé mariage il était si attentif, si tendre a mon égard je ne pensais pas a avoir a vivre cela, un jour sans  amour n’y tendresse je ne comprend pas son soudain changement envers moi, et aujourd’hui il à le même pour les enfants c’est ce qui est le plus triste.je me souvient quand nous préparions notre mariage il m’a dit cette phrase nous irons vivre chez toi si tu le veut bien pour quelques années puis nous ferons construire, je ne lui est pas refusée mais comme il savait que cette maison était pour Paul est moi, je lui est simplement dit est tu sur que cela ne te dérange pas  il ma regardé puis il ma dit pourquoi veut tu que cela n’ennuie alors j’ai acceptée il a ajouté quand nous serons marié tu ne seras plus obligée de travailler mon salaire nous suffiras tu te reposeras, et en souriant il ma dit si nous avons la chance d’avoir des enfants tu en profiteras je pense qu’il était sincère d’ailleurs a leur naissance il était heureux il les admiraient en sourdine il leur parlait mais il regardait si je le voyait. C’est après leur naissance que notre vie de couple ne fus plus la même il avait en lui une énorme jalousie. Puis la famille lui on bourré le crane à mon sujet pour eux être sortie avec un autre était très mal vue sa famille il n’était pas obligée de les écouter mais aujourd’hui il parle comme eux sur les couples souvent dans son langage les formules de se genre son les suivantes, elle en n’est pas à son premier aujourd’hui ses formules ne son plus d’actualité se son ses propres mots les mots que ses parents disaient sur moi et sur d’autres. La vie est faite comme cela et il me faut faire avec. En somme c’est quand nous sommes ici que je suis la plus heureuse, les enfants me manques pareilles cela ne change pas, mais j’ai tellement d’amie qu’ils me comprennent, ça rend la vie plus douce oh !je ne d’dévoile pas ma vie a n’importe qui, vous êtes bien la première personne à qui je me confie cela me fait tellement du bien de vider mon sac j’espère que je ne vous ennuie pas avec mes malheurs. Je ne sais pas pourquoi certaine personne à qui on fait plus confiance est c’est votre cas ,il me semble me soulagée de vous avoir parlée, puis je s’ai que vous ne le répétée pas notre conversation, c’est pour cela que si vous pouviez a votre façon écrire un livre çà me ferais tellement plaisir se n’est pas pour me faire plaindre chacun a sa peine mais je ne comprend pas pourquoi le sort s’acharne contre moi, et continu de s’acharné sur mes enfants, puis en écrivant se livre d’autre personne se retrouverons un peut en moi et que cela les feras réfléchir et leur permettrons de mieux faire face a la solitude. Souvent je me posse la question sa vie il la construit comme ses parents le lui on demandé et il ne réfléchie pas que dans la vie il faut faire certaine concisions pour pouvoir êtres heureux et rendre les autres heureux. Mais à nos enfants que leur reste t’il dans tous cela mon amour mais ce n’est pas suffisants l’amour d’un père est indispensable eux aussi lui pardonnerais si il laissait son orgueils de coté pour une foi. Maintenant je voudrais vivre tranquille en laissant a mes chères enfants l’héritage que moi je n’ai pas eu l’amour, je voudrais aussi que l’amour qu’ils n’ont pas eu dans notre couple il le trouve auprès de leur conjoint respectif et dans leur petite famille a qui je pense tout les jours que Dieu fait, je me tourne aussi vers ma Mère avec le recule en pensant a tout le mal que je lui est fait de la privée de ses petits enfants je n’y pouvais rien je n’avais pas sa force. Quand a mes enfants et a mes 5 petits enfants j’espère toujours qu’un jour la vie nous rapprocheras et la seulement j’aurais gagnée mon combat le combat d’une mère éloignée de ses enfants sans raison mais peut être pas assez forte pour faire face, le combat d’une mamie qui tout les jours pleure en pensant a ses petits que je ne voie pas grandir, le combat d’une fille qui par le passée a privée sa mère de ses petits enfants sans le vouloir sans pensée qu’un jour je souffrirais du même handicape, le combat d’une épouse qui malgré ses souffrances imposée par jacques et malgré tout prête a pardonnée car si il savait combien je l’aime cela changerais tout, ma souffrance du mépris de la douleur pourtant il ma fallu longtemps pour sortir de l’ombre certaine femme dise que leur vie et un bouquet de roses a admirée moi ma vie est une matée de fougère que l’on piétine et qui essaye de se relevée voilà ma vie bien triste je souhaite que la votre soi plus belle. voilà Henriette  j’ai terminée votre ouvrage je pense avoir fait pour le mieux, ce n’est pas facile  de se mettre dans la peau d’une autre personne, j’espère ne pas vous décevoir et les lecteurs non plus, je ne s’est pas comment vous trouverez sa vie ,moi je la trouve triste je ne vous cache pas mon émotion, en écrivant certain passage qui m’arrachait le cœur moi je la connais elle ne mérite pas cela c’est un petit bout de femme qui par pudeur pour elle  mais aussi par respect pour son mari ne laisse rien paraitre c’est en bavardant quelle ma dit sa vie, je souhaite que sur ses vieux jours comme elle le dit a plusieurs reprises Jacques face un petit effort est quelle puisse voir ses mômes comme nous tous, Jacques je le connais mais il laisse pas apparaitre son coté hargneux mais je vois sa façon de lui parlée, ce n’est pas un agneau cela se comprend, oh ! Vous allez dire ont a tous des défauts mais lui en a plusieurs, mais Henriette ne m’a pas demandée de la juger alors je ne ferais pas de commentaire a vous de voir les façons de vivre de cette dame elle qui est si douce, Henriette je voudrais vous remercier pour la confiance que vous m’accordez et pour cela à mon tour je vous offre ce poète que vous lirez il vous ressemble, et ressemble à votre vie m’enfoncent dans ce jardin, j’ai découvert le gout de la solitude, le sentier et envahie de fougère, les roses et les lilas dons je rêvais, son comme ma vie effacée de la société, déclament a haute voie, les espoirs qu’un jour, pour moi aussi le soleil brillera.

Bonne lecture.                                                                     

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